Décidément, les milliardaires de la côte Ouest des États-Unis ne semblent jamais devoir tomber à court d’idées. Ainsi le groupe Uber, aux pratiques controversées et abonné assidu aux prétoires, vient-il de se lancer dans l’intérim au travers de l’application Uber Works. 
Il ne s’agit pour le moment que d’un test déployé dans la ville de Chicago qui, s’il s’avérait concluant, s’étendrait à la plupart des grandes villes américaines. En revanche, aucune précision n’est avancée quant à un déploiement en France ou en Europe. Cette diversification suffira-t-elle à renflouer les caisses d’un groupe accusant un déficit de 5 milliards de dollars sur le dernier trimestre ? Empêtré dans une myriade de procédures dont une conflit judiciaire avec la ville de New-York au sujet de la législation portant sur le chauffeurs, le groupe Uber devrait donc rejoindre la cohorte grandissante des opérateurs digitaux de l’intérim. Vraisemblablement un concurrent de plus pour Adecco d’ici environ deux à trois ans.

Le service ne devrait concerner que les courtes et urgentes missions, notamment dans l’événementiel la restauration…. Il fonctionnera adossé à un groupe d’agences de recrutement, TrueBlue auquel sera dévolu le rôle de sélectionner les candidats et procéder aux vérifications et validations administratives ainsi que d’établir la paie.
A suivre, donc… 
 

1 COMMENTAIRE

  1. ce n'est pas eux qui remettront les équipements de sécurité et feront les visites de postes et tout le reste !
    ça reste du vent !

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