Comme nous l’avons déjà écrit, nous nous étonnons du nombre relativement peu élevé de commentaires proposés par nos lecteurs en regard du nombre de visiteurs et de pages consultées quotidiennement. Une prudence, sans doute un peu excessive, explique sans doute en partie cet état de fait. Pour les plus inquiets de nos lecteurs, sachez qu’il nous est impossible de connaître l’identité des auteurs de commentaires puisque ceux-ci peuvent être anonymes ou publiés sous un pseudonyme.
A propos de pseudonymes, nous vous conseillons vivement d’en prendre un (pas besoin d’une inscription quelconque) afin de faciliter les échanges entre lecteurs. Ceci évitera le type de dialogue suivant : “anonyme de 11h07, en réponse à anonyme de 8h23“, ce qui, reconnaissons-le, n’est pas vraiment convivial, ni très glamour.
Ce blogue et les commentaires publiés sont connus et reconnus pour leur grande liberté d’expression car nous demeurons persuadés qu’il y a toujours à gagner d’une critique constructive.
Ceci dit, les limites posées à la publication de commentaires ne sont, ni plus ni moins que celles posées par le respect du cadre légal, d’une part, et par celui des uns et des autres, quelles que soient les opinions, d’autre part. Nous avons, par exemple, publié des critiques acerbes sur l’ANI alors que chacun sait que la CFE CGC en est signataire. C’est cela la liberté d’expression et elle est précieuse.
En revanche, nous ne publions pas et ne publierons pas les commentaires mettant nominativement en cause qui que ce soit, pas plus que nous ne validerons des insultes, calomnies, diffamations en tous genres, des appels à la violence ou aux dégradations volontaires, par exemple. Malheureusement, nous sommes amenés à filtrer plusieurs messages de ce type par semaine. Nous n’avons d’ailleurs pas la possibilité technique de modifier, même d’une virgule, les commentaires, notre seule alternative possible consistant à valider ou refuser de le publier.
Ce blogue n’est ni un défouloir, ni une tribune où étaler des règlements de compte plus ou moins douteux, pas plus qu’il n’est un forum de dénonciation anonyme. Même si pour certains la tentation est forte de jouer les matamores à l’abri d’un commode anonymat, nous n’avons pas à cautionner de telles pratiques.
Ceci étant posé, les choses étant dites, n’hésitez pas à poster les commentaires que vous souhaitez sur tous les sujet, la rubrique commentaires pouvant devenir un lieu privilégié d’échange d’expériences et de réflexions entre salariés.
Dans les jours qui viennent, sur ce blogue : 
l’indésirable héritage du Comité d’entreprise Adia
 
Le budget minimaliste des CE Adecco
 
Que sont les “surnuméraires” devenus ?
 
La grande arnaque du Livret A

5 Commentaires

  1. J'ai pu vérifier à plusieurs reprises la liberté d'expression sur ce blog et je confirme. Merci car ça n'est pas si fréquent

  2. Pour tenir un blog syndical sur autre société du groupe (euro engineering), je confirme que les commentaires sont assez rares chez nous aussi.
    Cela ne nous empêche pas d'inciter régulièrement nos lecteurs à donner leur ressenti à la suite de nos articles.

  3. Pour tenir un blog (sur tout autre chose) avec la plate-forme Blogger comme vous ; je me dois de signaler, que la modification des commentaires est possible…

    Ne serait-ce qu'en copiant-collant dans un nouveau commentaire sous le titre "commentaire modifié"

    A vous de voir donc.

    Mais qui séme le vent récolte la tempête et en atisant les rancoeurs vous attirer les rancuniers !
    Je me suis marré sur la censure des commentaires de la Petite Sirène ; personne ne vous obligeait à en reparler, non ? Ça sent la provoc' ou bien le ballon d'essai.
    Alors ne pas se plaindre que les lecteurs participent à leur tour.

  4. Je ne sais si nous semons le vent mais en tout cas chez nous, pas de langue de bois.
    Quant à la "petite sirène" elle déclenche toujours les passions et m'oblige à censurer plusieurs commentaires à chaque fois.

    Toute rancœur est inutile puisque tous ceux qui ont été mêlés de près ou de loin à l'affaire ont été expulsés, d'une manière ou d'une autre, de la base au Codir. Ce qui prouve que l'entreprise a conservé quelques sains réflexes même si les choses ne viennent pas toujours aussi rapidement qu'on le souhaiterait.

    Quand le temps m'en sera donné, je raconterai un jour cette histoire en détail.

  5. Liberté d'expression, je ne suis plus d'accord avec vous. Je suis un lecteur assidu de votre blog . Plus les années passent et plus la censure est présente sur le blog. Relisez les commentaires du PSE de 2009, ceux du PDV de 2012, vous verrez par vous même. Il est vrai que certains commentaires sont explicitent, et alors ou est le mal. Personne n'est dupe. Tout le monde sait ce qui se passe dans sa région, tout le monde sait qui sont les bons petits soldats de l'encadrement. C'est vous qui incitez à ce type de commentaire, alors assumez vos responsabilités. Le syndicalisme et la politique ne font plus qu'un.

    (Ce commentaire a été légèrement modifié par le modérateur – CFE CGC)

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