Aujourd’hui, la gravité de la menace qui pèse sur nos rémunérations incite la quasi-totalité des organisations syndicales à mener une action unitaire, dans le respect des différences de chacun, bien sûr, mais avec suffisamment de cohésion pour mettre en oeuvre toutes les chances d’infléchir le calamiteux projet de la direction qui, s’il était appliqué en l’état, provoquerait l’effondrement ou, selon les agences, la disparition pure et simple de la partie variable de la rémunération, dès la fin de la période d’accompagnement.
Dans ce contexte délicat, toute tentative de division ou de dénigrement, d’où qu’elle vienne, doit être considérée comme suspecte à priori. Qui a en effet intérêt, en ce moment, à tenter de diviser les élus comme les salariés ? Poser la question c’est y répondre. Comme dans tout bon polar, la question majeure demeure toujours la même : à qui profite le crime (de la division) ?
Demain sur ce blogue :
Vers une très forte mobilisation…

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