C’est le feuilleton de l’été du groupe Adecco : le groupe suisse veut s’offrir Michael Page, groupe britannique spécialisé dans le recrutement.
Une première proposition d’Adecco, à 100 pences par action, soit un total de 1,3 milliards de livres a été repoussée dédaigneusement par Michael Page. Une deuxième proposition d’Adecco a aussi fait l’objet d’un refus, cette deuxième offre étant jugée encore insuffisante financièrement. Voilà pour les propositions “amicales”.
Adecco a laissé entendre qu’il n’excluait pas l’hypothèse d’une “offre hostile” et que, par conséquent, toutes les options restent possibles.

Soit, les financiers font leur travail mais l’éventuelle acquisition de ce géant du recrutement posera quand même un certain nombre de questions quant à l’organisation du groupe, la segmentation du marché, son éventuelle “cannibalisation” en intra-groupe et bien sûr… la question de l’emploi.

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