Raison 1. LES SYNDICATS, C’EST RINGARD !
Si
vous pensez que les syndicats ne sont pas adaptés aux problèmes de
notre époque, alors il ne tient qu’à vous pour que ça change. Comment ?
Eh bien, la meilleure façon c’est d’y adhérer en masse et ainsi vous
aurez ainsi le poids nécessaire pour modifier ce que vous trouvez
ringard. Et croyez-le ou non, à la CFE-CGC nous sommes preneurs !

Raison 2. JE N’AI PAS LE TEMPS !
C’est
sûr, on n’a jamais le temps. Sauf que, quand on a un problème, on est
content de trouver un syndicaliste qui a le temps de vous aider. Au
fait, vous êtes-vous demandé comment il fait, lui, pour le trouver, ce
temps qu’il vous consacre ?

Raison 3. CELA RISQUE DE NUIRE A MA CARRIÈRE !
La
seule chose qui puisse nuire à une carrière, c’est le manque de
compétence ou la faute professionnelle. Si vous vivez honnêtement votre
appartenance syndicale et votre rôle de syndicaliste, comme c’est la
règle à la CFE-CGC, personne ne vous en fera grief, au contraire.

Raison 4. C’EST TROP CHER !
La
cotisation à un syndicat, c’est comme une assurance auto : ça coûte
cher jusqu’au jour où on a un accident. Et dans la vie professionnelle,
qui peut jurer qu’il n’aura jamais d’accident ? Alors, quand on peut
assurer une auto, on peut assurer sa propre personne pour moins cher en
se syndiquant. D’autant plus que la cotisation syndicale est
déductible des impôts à 66 %.

Raison 5. JE PREFERE TRAITER DIRECTEMENT AVEC MA HIERARCHIE.
Tant
mieux, mais il peut aussi se produire que la hiérarchie en question
refuse de vous écouter ou vous écoute sans vous entendre. Dans ces
cas-là, rappelez-vous que l’union fait la force et ce n’est pas qu’une
devise sur les Armoiries de la Belgique…

Raison 6. LES SYNDICATS SONT POLITISES.
La
CFE-CGC pour ne parler que d’elle, défend les intérêts professionnels
et sociaux des salariés qu’elle représente, par ses compétences
économiques et sociales à l’exclusion de toute considération politique
(comme d’ailleurs philosophique et religieuse). Nos militants viennent
d’horizons différents et la couleur d’un gouvernement n’a jamais été un
frein pour lui dire ses quatre vérités, quand nous estimons sa
politique néfaste pour le salarié.

Raison 7. DÉFILER DANS LA RUE EN HURLANT DES SLOGANS, ÇA NE ME DIT RIEN
À
nous non plus. Et vous seriez surpris de savoir qu’un syndicat emploie
ses délégués à bien d’autres missions : juge prud’homal, conseiller du
salarié, administrateur salarié, membre de la commission
départementale de prévention routière, de la commission des titres, de
commission nationale de la formation au sein de l’Éducation Nationale…
Voilà quelques rôles pour lesquels la CFE-CGC est mise à contribution.

Raison 8. LES SYNDICATS TRADITIONNELS SONT TROP MOUS
C’est
facile de casser du Mac Do, de faucher du transgénique, de conspuer
patrons et ministres (« tous pourris »). A la CFE-CGC, nous préférons
construire. Parce qu’une fois qu’on s’est bien défoulé à tout casser,
ce n’est pas sûr du tout qu’on soit en meilleure situation ensuite !

Raison 9. JE NE VEUX PAS M’ENGAGER.
Quelle
tentation de se dire : « je suis au-dessus de la mêlée ! ». Mais c’est
trop tard : dès la signature de votre contrat de travail, vous vous
êtes engagé. Après, vous avez le choix entre subir sans broncher ou
vous associer à ceux qui ont les mêmes problèmes que vous et qui se
sont donnés les moyens de réagir et d’agir ensemble dans les situations
difficiles.

Raison 10. CE SONT LES LEADERS QUI DÉCIDENT ET LA BASE DOIT EXÉCUTER
À
la CFE-CGC, nous ne sommes pas un syndicat où des chefs balancent des
mots d’ordre que la base militante doit appliquer sans discuter et sans
réfléchir. Les armes favorites de la CFE-CGC que sont le dialogue, le
compromis, la concertation et la négociation, et qui ont permis de
gagner bien des combats dans les entreprises, font foi au sein même du
fonctionnement de la CFE CGC

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