Le risque, lorsque l’on communique beaucoup et en temps réel, c’est l’erreur. Les sources sont diverses, les avis changent aussi et une information lancée un peu rapidement peut parfois recouvrir une erreur. Il n’y a que celui qui ne communique pas qui ne risque pas de se tromper et comme l’affirme l’expression : “difficile de distinguer le génie qui se tait du sot qui ne parle point”. Ni génie, ni (trop) sot, nous avons pris le parti de communiquer.
Tout ceci pour dire que nous avons fait une colossale erreur en écrivant, le mercredi 19 juin “Ceux qui se seraient précipités pour signer leur avenant de Contribution
totale peuvent faire machine arrière et réclamer un avenant CDHI. Notez
qu’on ne voit pas trop pourquoi ils reviendraient si rapidement sur
leur choix…”. Cette information est erronée et il n’y a aucun retour en arrière possible. Le libre-choix n’appartiendra donc qu’aux salariés n’ayant pas encore signé leur avenant.
Désolé pour cette erreur et nous avons bien entendu tiré et tire-bouchonné les oreilles de celle qui nous avait fourni cette fausse information.

Bientôt sur ce blogue :
Les dessous de la grève du CCE

3 Commentaires

  1. Merci pour ces précisions qui soulèvent toutefois une interrogation : j'ai refusé (et je refuserai de signer) pour adhérer à la CT. Si demain la direction fait jouer ma clause de mobilité et me propose une mutation ; qu'en est-il ? Ai-je le choix (CT ou CDHI) ?

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