Ça c’était avant… |
Où va Foncia ? L’article suivant répond assez précisément à cette question. Notre ex-PDG y prodigue aujourd’hui son savoir-faire en matière de réorganisation et de restructuration. Paradoxe classique dans la fameuse vie des entreprises, les premiers lésés du réseau Foncia seront apparemment ceux qui ont le plus investi et le plus risqué : les franchisés. C’est une bien mauvaise surprise qui attendait ceux qui ont mis leur argent, leur énergie et leur passion au service de cette grande enseigne de l’immobilier.
La simplissime recette appliquée demeure inchangée et nous l’avons souvent évoquée sur ce blogue : toujours moins de salariés, d’encadrement, de sites, de frais… pour toujours plus de profits, etc.
Où cela mènera-t-il cette entreprise ? A suivre…
Article emprunté à Les échos de la franchise.com :
Les franchisés Foncia accusent
Sur 87 agences franchisées Foncia existant à ce jour, 43 sont vouées à disparaître. L’enseigne a annoncé en juin 2013 le non-renouvellement de leurs contrats. Réunis en groupement, les franchisés demandent des solutions à leur tête de réseau. Première revendication : la suppression de leur clause de non-réaffiliation.
L’affaire, totalement bloquée à l’heure actuelle, sera probablement
réglée sur les bancs des tribunaux. Retour sur plusieurs mois de
bataille entre une trentaine de chefs d’entreprise et un géant de
l’immobilier, premier administrateur de biens en France, qui compte
550 agences immobilières et emploie 6 700 collaborateurs.
L’affaire, totalement bloquée à l’heure actuelle, sera probablement
réglée sur les bancs des tribunaux. Retour sur plusieurs mois de
bataille entre une trentaine de chefs d’entreprise et un géant de
l’immobilier, premier administrateur de biens en France, qui compte
550 agences immobilières et emploie 6 700 collaborateurs.
LA NOUVELLE STRATÉGIE FONCIA
Tout
commence lors du séminaire de décembre 2012. François Davy, président
de Foncia, annonce à l’ensemble du groupe sa nouvelle stratégie de
développement. Il délimite notamment 27 zones à fort potentiel, dans les
10 plus grandes villes de France et en Ile-de-France. François Davy
explique que des agences intégrées seront implantées sur ces zones et
que les agences franchisées présentes verront leur contrat
non-renouvelé. Il promet des solutions individuelles, mais l’inquiétude
monte.
commence lors du séminaire de décembre 2012. François Davy, président
de Foncia, annonce à l’ensemble du groupe sa nouvelle stratégie de
développement. Il délimite notamment 27 zones à fort potentiel, dans les
10 plus grandes villes de France et en Ile-de-France. François Davy
explique que des agences intégrées seront implantées sur ces zones et
que les agences franchisées présentes verront leur contrat
non-renouvelé. Il promet des solutions individuelles, mais l’inquiétude
monte.
Les franchisés s’interrogent. Le détail des zones devenues « prioritaires » pour le franchiseur n’est pas connu.
Leurs questions resteront longtemps sans réponse. Le 27 février, ils
écrivent un courrier à François Davy dans lequel ils annoncent la
création d’un syndicat professionnel. « Cet
engagement officiel est d’autant plus nécessaire aux yeux des
franchisés que, sur le terrain et depuis plusieurs mois, les agences
franchisées rencontrent les plus grandes difficultés à exercer
sereinement et efficacement leur activité, notamment du fait d’une
différence de traitement par le groupe entre les agences détenues en
propre et les agences franchisées », indique le courrier du 27 février. Plus loin : « l’inquiétude
des agences franchisées est devenu d’autant plus grande que en plus de
ne pas obtenir du groupe les moyens et les outils qu’elles réclament
depuis des mois, il est apparu que des projets d’implantation d’agences
en propre étaient en cours à proximité immédiate des agences
franchisées. »
Leurs questions resteront longtemps sans réponse. Le 27 février, ils
écrivent un courrier à François Davy dans lequel ils annoncent la
création d’un syndicat professionnel. « Cet
engagement officiel est d’autant plus nécessaire aux yeux des
franchisés que, sur le terrain et depuis plusieurs mois, les agences
franchisées rencontrent les plus grandes difficultés à exercer
sereinement et efficacement leur activité, notamment du fait d’une
différence de traitement par le groupe entre les agences détenues en
propre et les agences franchisées », indique le courrier du 27 février. Plus loin : « l’inquiétude
des agences franchisées est devenu d’autant plus grande que en plus de
ne pas obtenir du groupe les moyens et les outils qu’elles réclament
depuis des mois, il est apparu que des projets d’implantation d’agences
en propre étaient en cours à proximité immédiate des agences
franchisées. »
LES ZONES D’EXCLUSIVITÉ DES FRANCHISÉS EN DANGER
Dès janvier 2013, plusieurs agences ont dû faire face à l’arrivée de succursales Foncia
dans leur zone d’exploitation. Parmi elles, l’agence Foncia Cambronne,
dans le 15e arrondissement de Paris, Foncia Coulée verte, dans le 12e,
l’agence Foncia Jussieu, dans le 5e, ou encore celle de Bagneux, dans
les Hauts-de-Seine. A chaque fois, le même scénario : les franchisés
apprennent l’installation d’un intégré Foncia par leurs concurrents.
Leur propre groupe se fait discret sur la question. Interrogée à ce
sujet, Line Vissot-Weil, directrice de la communication de Foncia, dément : « Foncia respecte scrupuleusement les contrats de franchise,
et je peux vous assurer qu’il n’y a aucune agence Foncia sur une zone
d’exclusivité d’un contrat de franchise. D’ailleurs, tous les franchisés
n’ont pas de clause d’exclusivité dans leur contrat. »Certains
franchisés assurent pourtant le contraire, comme Jun Zhu, franchisée
dans le 15e arrondissement de Paris, qui affirme avoir « l’exclusivité d’exploitation de la marque Foncia sur [sa] zone ».
dans leur zone d’exploitation. Parmi elles, l’agence Foncia Cambronne,
dans le 15e arrondissement de Paris, Foncia Coulée verte, dans le 12e,
l’agence Foncia Jussieu, dans le 5e, ou encore celle de Bagneux, dans
les Hauts-de-Seine. A chaque fois, le même scénario : les franchisés
apprennent l’installation d’un intégré Foncia par leurs concurrents.
Leur propre groupe se fait discret sur la question. Interrogée à ce
sujet, Line Vissot-Weil, directrice de la communication de Foncia, dément : « Foncia respecte scrupuleusement les contrats de franchise,
et je peux vous assurer qu’il n’y a aucune agence Foncia sur une zone
d’exclusivité d’un contrat de franchise. D’ailleurs, tous les franchisés
n’ont pas de clause d’exclusivité dans leur contrat. »Certains
franchisés assurent pourtant le contraire, comme Jun Zhu, franchisée
dans le 15e arrondissement de Paris, qui affirme avoir « l’exclusivité d’exploitation de la marque Foncia sur [sa] zone ».
Selon la loi Doubin, le franchiseur est tenu de garantir contractuellement un engagement d’exclusivité ou de quasi-exclusivité à son franchisé. « Si le franchiseur, alors qu’il y a des contrats en cours, installe des succursales en violation de la clause d’exclusivité territoriale, c’est grave », explique Gilles Menguy, avocat spécialiste de la franchise.
LA RENCONTRE DU 13 JUIN
François
Davy reçoit le groupement de franchisés le 13 juin 2013. Ils sont venus
réclamer des réponses et rappeler au président ses engagements. Ils
demandent au président de Foncia de considérer des sorties anticipées. Ils veulent quitter le réseau rapidement, et dignement. « On veut juste sortir par la grande porte »,
explique Moulay El Houari, franchisé dans le 11e arrondissement de
Paris. Certains franchisés sont propriétaires de plusieurs agences dont
les contrats n’arrivent pas à terme au même moment. C’est le cas de M.
Bouhnik, multi-franchisé à
la tête de quatre agences Foncia, dont une est arrivée au terme de son
contrat et n’a pas été renouvelée. Comment gérer cette situation, en
défendant la marque Foncia d’un côté et en gérant son enseigne
indépendante de l’autre ? « Il est difficile de rester motivé quand il reste deux ou trois ans d’exercice à réaliser »,
explique Sébastien Delaplace, ancien salarié Foncia désormais franchisé
à Puteaux (92). Les franchisés veulent que Foncia leur fasse des
propositions pour qu’ils arrêtent immédiatement leur contrat, et que
chacun puisse se reconstruire de son côté. François Davy accepte au cas
par cas. Le 14 juin, 43 agences franchisées reçoivent une lettre recommandée leur annonçant que leur contrat ne sera pas renouvelé.
Davy reçoit le groupement de franchisés le 13 juin 2013. Ils sont venus
réclamer des réponses et rappeler au président ses engagements. Ils
demandent au président de Foncia de considérer des sorties anticipées. Ils veulent quitter le réseau rapidement, et dignement. « On veut juste sortir par la grande porte »,
explique Moulay El Houari, franchisé dans le 11e arrondissement de
Paris. Certains franchisés sont propriétaires de plusieurs agences dont
les contrats n’arrivent pas à terme au même moment. C’est le cas de M.
Bouhnik, multi-franchisé à
la tête de quatre agences Foncia, dont une est arrivée au terme de son
contrat et n’a pas été renouvelée. Comment gérer cette situation, en
défendant la marque Foncia d’un côté et en gérant son enseigne
indépendante de l’autre ? « Il est difficile de rester motivé quand il reste deux ou trois ans d’exercice à réaliser »,
explique Sébastien Delaplace, ancien salarié Foncia désormais franchisé
à Puteaux (92). Les franchisés veulent que Foncia leur fasse des
propositions pour qu’ils arrêtent immédiatement leur contrat, et que
chacun puisse se reconstruire de son côté. François Davy accepte au cas
par cas. Le 14 juin, 43 agences franchisées reçoivent une lettre recommandée leur annonçant que leur contrat ne sera pas renouvelé.
LE STATU QUO
Après
l’été, la situation s’envenime. Les franchisés qui veulent quitter de
manière anticipée le réseau n’ont toujours pas reçu de proposition de la
part de la direction.Au cœur du blocage, un accord de confidentialité que les franchisés refusent de signer. « Ils veulent nous museler, si on signe cet accord, on ne pourra rien dire pendant 10 ans », déplore Moulay El Houari, franchisé dans le 11e arrondissement de Paris. Le 4 octobre 2013, le groupement des franchisés Foncia propose
son propre accord de confidentialité, qui porte uniquement sur les
négociations en tant que telles, et non pas sur la totalité des échanges
entre l’enseigne et ses franchisés. L’enseigne refuse de le signer.
Pour Line Vissot-Weil, numéro 2 de Foncia, « le
préalable pour pouvoir se mettre à la table des négociations est bien
évidemment que l’on puisse respecter la confidentialité des échanges qui
ont lieu dans le cadre des négociations. Et au-delà de ça, ce qui est
important ce n’est pas qu’on ait une négociation avec le groupement,
mais qu’on puisse trouver une solution pour chacun.
l’été, la situation s’envenime. Les franchisés qui veulent quitter de
manière anticipée le réseau n’ont toujours pas reçu de proposition de la
part de la direction.Au cœur du blocage, un accord de confidentialité que les franchisés refusent de signer. « Ils veulent nous museler, si on signe cet accord, on ne pourra rien dire pendant 10 ans », déplore Moulay El Houari, franchisé dans le 11e arrondissement de Paris. Le 4 octobre 2013, le groupement des franchisés Foncia propose
son propre accord de confidentialité, qui porte uniquement sur les
négociations en tant que telles, et non pas sur la totalité des échanges
entre l’enseigne et ses franchisés. L’enseigne refuse de le signer.
Pour Line Vissot-Weil, numéro 2 de Foncia, « le
préalable pour pouvoir se mettre à la table des négociations est bien
évidemment que l’on puisse respecter la confidentialité des échanges qui
ont lieu dans le cadre des négociations. Et au-delà de ça, ce qui est
important ce n’est pas qu’on ait une négociation avec le groupement,
mais qu’on puisse trouver une solution pour chacun.
LE FRANCHISEUR ASSIGNE SES FRANCHISES EN JUSTICE
Le 25 octobre, Foncia
assigne Moulay El Houari, franchisé dans le 11e arrondissement de
Paris, et le groupement des franchisés Foncia, pour diffamation. L’enseigne demande notamment 54 000 euros de dommages à Moulay El Houari et au groupement solidairement pour la « perte d’une chance d’encaisser des droits d’entrée ». L’assignation évoque également la venue d’un groupe de franchisés au siège de Foncia le 3 octobre 2013, en ces termes : «
plusieurs responsables du groupement des franchisés Foncia, dont un
homme se présentant lui-même comme d’origine marocaine, ont également
tenté de pénétrer de force dans les locaux de la société Foncia Groupe
le 3 octobre 2013, l’homme d’origine marocaine tenant des propos
vindicatifs à pleine voix devant les visiteurs qui entraient et
sortaient des locaux, en invoquant notamment la spoliation des
franchisés par les demandeurs ainsi qu’en atteste le constat d’huissier
dressé le jour même. »
assigne Moulay El Houari, franchisé dans le 11e arrondissement de
Paris, et le groupement des franchisés Foncia, pour diffamation. L’enseigne demande notamment 54 000 euros de dommages à Moulay El Houari et au groupement solidairement pour la « perte d’une chance d’encaisser des droits d’entrée ». L’assignation évoque également la venue d’un groupe de franchisés au siège de Foncia le 3 octobre 2013, en ces termes : «
plusieurs responsables du groupement des franchisés Foncia, dont un
homme se présentant lui-même comme d’origine marocaine, ont également
tenté de pénétrer de force dans les locaux de la société Foncia Groupe
le 3 octobre 2013, l’homme d’origine marocaine tenant des propos
vindicatifs à pleine voix devant les visiteurs qui entraient et
sortaient des locaux, en invoquant notamment la spoliation des
franchisés par les demandeurs ainsi qu’en atteste le constat d’huissier
dressé le jour même. »
Les franchisés démentent avoir tenté d’entrer de force. «
Nous étions attendus à l’entrée par un huissier et une personne des
services généraux. Ils ne nous ont même pas demandé notre identité, et
ne nous ont pas laissé rentrer », énonce Jun Zhu, franchisée
dans le 15e arrondissement de Paris. Moulay El Houari, présent
également le 3 octobre, dément lui aussi avoir tenté de pénétrer de
force : « Il y a une caméra juste à l’entrée du siège de Foncia. Les images prouveront bien que nous n’avons rien forcé. »
Nous étions attendus à l’entrée par un huissier et une personne des
services généraux. Ils ne nous ont même pas demandé notre identité, et
ne nous ont pas laissé rentrer », énonce Jun Zhu, franchisée
dans le 15e arrondissement de Paris. Moulay El Houari, présent
également le 3 octobre, dément lui aussi avoir tenté de pénétrer de
force : « Il y a une caméra juste à l’entrée du siège de Foncia. Les images prouveront bien que nous n’avons rien forcé. »
LA JUSTICE, LE DERNIER RECOURS
Aujourd’hui, le groupement des franchisés Foncia se prépare à son tour à assigner le groupe immobilier en justice, pour mauvaise exécution du contrat de franchise et abus de droit. « Le non-renouvellement d’un contrat est l’expression d’un droit naturel d’une partie, le contester est compliqué, explique Gilles Menguy, avocat spécialiste de la franchise. Mais
la décision d’un franchiseur de procéder au non-renouvellement de 50 %
de son réseau pourrait plus facilement donner prise à une action de la
part des franchisés s’ils parviennent à établir un comportement
abusif. »
la décision d’un franchiseur de procéder au non-renouvellement de 50 %
de son réseau pourrait plus facilement donner prise à une action de la
part des franchisés s’ils parviennent à établir un comportement
abusif. »
Les
franchisés réclament également l’annulation de leur clause de
non-renouvellement qui les empêche, pendant un an, de s’affilier à un
réseau concurrent, et souhaitent que Foncia s’engage à ne pas implanter
d’agences intégrées en face de leurs propres agences. «
Nous avons investi et développé pendant des années une clientèle en
mettant en avant la marque Foncia, nous allons subir un préjudice énorme
si Foncia s’implante juste en face de chez nous », déplore Sébastien Delaplace, franchisé à Puteaux (92). « On n’attaque pas la franchise, ajoute Jun Zhu, franchisée dans le 15e arrondissement de Paris. Mais on estime être face à une franchise fantôme. Nous
comprenons que François Davy applique sa nouvelle stratégie, mais la
façon dont c’est fait… Humainement, c’est inacceptable. »
franchisés réclament également l’annulation de leur clause de
non-renouvellement qui les empêche, pendant un an, de s’affilier à un
réseau concurrent, et souhaitent que Foncia s’engage à ne pas implanter
d’agences intégrées en face de leurs propres agences. «
Nous avons investi et développé pendant des années une clientèle en
mettant en avant la marque Foncia, nous allons subir un préjudice énorme
si Foncia s’implante juste en face de chez nous », déplore Sébastien Delaplace, franchisé à Puteaux (92). « On n’attaque pas la franchise, ajoute Jun Zhu, franchisée dans le 15e arrondissement de Paris. Mais on estime être face à une franchise fantôme. Nous
comprenons que François Davy applique sa nouvelle stratégie, mais la
façon dont c’est fait… Humainement, c’est inacceptable. »
Source : Les échos de la franchise
Mouais…
A part le fait que Davy soit leur patron, ça sent un peu le remplissage votre article.
Parlez-nous du dépouillage des agences BTP et donc du démantèlement prévu du réseau BTP par l'attribution du retail BTP aux agences PME plutôt ; l'actu (notre actu) elle est là!
f davy c'est du passé concentrons nous sur le présent !!!!!
On ne change pas une méthode qui gagne (du fric)
C'est vrai ça, il y a de moins en moins d'articles concernant le quotidien Adecco qu'auparavant…
Vos élus ils sont bien salariés Adecco, ils doivent en avoir des infos par le réseau non ?
Contrairement à ce que disent certains je trouve intéressant de savoir ce que devient notre ex-numéro 1. Ça permet de voir que rien ne change et que nos différents DG appliquent exactement la même politique : celle du fric
Anonyme de 13h17 se la joue facile en parlant de remplissage. Est ce qu'il envoie des infos, est ce qu'il est adhérent ? est ce qu'il a déjà agi d'une façon ou d'une autre ?
c'est blanc bonnet et bonnet blanc. Plus tu bosses moins tu gagnes et plus le groupe se fait de fric
Le problème avec les franchisés c'est qu'il est plus difficile de truquer leur EDG, leur faire signer des avenants pourris ou leur imposer des réunions de propagandes !
Heureusement chez Adecco les salariés ne sont pas comme ça…
A Anonyme du 1er décembre 20H46 : en d'autres termes, si tu n'es pas syndiqué, ferme-la… Pour la plupart c'est déjà assez compliqué d'avoir une vie de salarié "normal"… Le progrès social, "c'est maintenant!", ah non pardon, "ça, c'était avant!"