Le symbole de ce trophée pouvait paraitre un peu outré il y a deux ans, mais aujourd’hui ?

Dans les maintenant plus de 4 000 articles et insertions diverses publiés sur ce site, nous avons abordé pratiquement tous les sujets liés à la vie professionnelle, à la vie des cadres et de l’encadrement, aux négociations d’entreprises, aux conditions de travail, à la rémunération et au dialogue social…, mais surtout nous avons anticipé la quasi-totalité des évolutions à venir et réorganisations, leurs effets, etc…, ce qui nous amène à évoquer de temps en temps, à titre de clin d’œil, notre boule de cristal, une boule aussi virtuelle qu’efficace.

Un exemple parmi tant d’autres sur lequel nous sommes tombés récemment par hasard en est donné par l’article “Qui veut la peau de Middle-Office ?“, publié le 4 juillet 2022, il y aura donc bientôt deux ans. Dès le chapeau de l’article, nous nous interrogions :

«Le titre vous semble un rien excessif voire provocateur ? Eh bien peut-être pas tant que ça à bien y regarder et nous allons tenter de le démontrer. La répétition des mêmes erreurs, la négligence d’alertes toujours sensiblement identiques et le maintien obstiné d’une situation génératrice des même effets négatifs devrait en effet interpeller.»

Puis suit une démonstration soutenue par quelques citations du rapport d’une expertise menée en… 2014 par le cabinet Technologia à la demande de vos élus du CCE, que nous concluions par cette question :«Même si certains passages peuvent sembler datés en raison des réorganisations successives, le fond du problème a-t-il vraiment changé ?».

Enfin et surtout, et c’est là où nous voulions en venir, nous concluions cet assez long article par quelques questions auxquelles l’entreprise se refusait évidemment à répondre, et pour cause :

«Et puis, si toutes ces causes évoqués plus quelques autres sont connues depuis la création de Middle-Office, que n’y remédie-t-on pas ? Retour à notre titre : que mijote la direction ? Pourquoi laisser perdurer une situation difficile qu’il ne serait pas très compliqué d’améliorer ? Quelle nouvelle organisation ou externalisation envisage-t-elle ? Quels prochains gains de productivité escompte-t-elle et comment envisage-t-elle de les réaliser sur une structure déjà “à l’os” ? Qui pourrait assurer le même service exigeant pour moins cher encore ?».

Depuis, il nous semble qu’il a été répondu plus ou moins directement à toutes nos questions, notamment à la dernière, et nous vous invitons à relire cet article en ayant bien à l’esprit que sa rédaction remonte à près de deux années… En tout cas, chacun connait maintenant les réponses à nos interrogations.

A relire aussi, si le cœur vous en dit, cette suite publiée trois jours après : “Qui veut la peau de Middle-Office (2ème partie)“.

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